"Je me sens... quotidienne." qu'elle disait.

Bon, il faut sévir. Ce blog se traine, rahlalala, et pourtant, ce n'est pas comme si je n'avais pas le temps d'y poster. Non, tout simplement, que j'y pense ou non, je finis toujours par faire autre chose, en me disant, qu'au final, j'ai rien à dire.
C'est naze de songer ça, parce que bon, ce blog c'est le mien, si je n'écris rien, personne ne le fera à ma place. Puis bon, ce n'est pas le but.

Et c'est pas comme si je ne faisais rien, oh que non.

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Voyez plutôt, pas plus tard que cet après-midi...

14h, place de la Victoire, on avait dis. Je n'aurais pas été la dernière.
Zell m'a évité de me compliquer la vie. Elicas était là aussi.
Passage par chez Etin. Tram.
Place de la Victoire aux environs de 14h30, Fujin était sensé être en retard, et l'est. Mais accompagné.
Temps de merde, dire qu'il faisait beau y'a deux jours, pas de chance.

C'est le dimanche quand il pleut et que beaucoup de choses sont fermées qu'on se rend compte que sa ville, en fin de compte, on en fait vite le tour.
Passage à la Foire aux Plaisirs, Mars oblige.

La Foire aux Plaisirs ? C'est simple, c'est trois fois par an, la place des Quinconces de Bordeaux envahie par la foire... avec ces attractions, ces gadgets, ces attrapes-nigauds et ces sucreries. Chichis, Chouros, Crêpes, Barbes à Papa et Pommes d'amour tous les 5 mètres. Musiques différentes à chaque attraction... "Pour les petits et les grands, à partir de 10 ans et en tout sécurité  !" "Venez les courageux, le Booster/Révolution/Ejection... vous attend, frissons garantis." Micro et phrases répétées à longueur de journée. On voit des exposants qui se lassent, d'autres qui essaient de susciter votre intérêt à grand renfort de phrases "choc" ou de grosses peluches. Rien que pour leur ténacité, y'aurait de quoi les encourager.

Défis de force entre Zell et Fujin, l'écart est moindre, néanmoins, Smokie wins.

Arrêt obligé pour une poche de Chichis avec du Nutella. Mais, j'ai trouvé plus gourmande quoi moi ! :p

Fujin n'y aura droit qu'après son passage dans l'Ejection (si je me souviens bien du nom), grosse boule à deux sièges attachée à deux câbles tendus, que l'on lâche soudainement... loopings, vitesse & co. Bonne idée de le laisser y monter le ventre à peu près vide. La caméra, fourbe, accrochée à l'attraction nous permet d'y voir un Fujin pas si à l'aise que ça lorsqu'il s'attache à son siège, et un "Smokiiie !" crié courageusement au lancement.

Passage Barbes à Papa pour les gourmands, mais Etin n'est pas en reste et ira s'acheter tranquillement sa Pomme d'amour... comme quoi, on reste tous fidèles aux sucreries de ce genre de foire... ça fait pas d'mal !
Par la suite, la pluie qui redouble gâche un peu plus la fin de l'aprem, heureusement qu'un café accepte bien de prendre 10 jeunes trempés, café liégeois et chocolat chaud clôtureront la sortie.

Après l'effort, le réconfort comme on dit.

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Hier soir, Saint Patrick. La soirée était toute autre.
Irish Pub bondé, bière et bonne bouffe... on était nombreux aussi, avec toujours de nouvelles têtes, dont Kim venu du Québec.
La LCC dans Bordeaux, c'est fun... car comme d'hab, ça se perd, ça n'est pas sûr des routes, ça improvise... ça irait bien à droite, puis finalement, à gauche car Ah mais non ! C'est pas par là !
En deuxième partie de soirée, diraient les programmes télé, on aura quand même fini par le retrouver le Panama Café et son Karaoké à deux étages... Enfumé, serré, mais sous-sol plus aéré. Et là encore, de nouvelles têtes finiront par nous rejoindre, pour chanter du Patricia Kass, du L5, du Polnareff entre autre..., subir un "Annie aime les sucettes" à tuer la gueuleuse à la voix stridente qui n'en connaissait pas l'air..., accompagner les autres chanteurs et comme l'ensemble du Bar, hurler "Le Connemara".

Résultat : Plus de voix, rentrée tard, le Connemara dans la tête. Mais à refaire ! Et plutôt deux fois qu'une !!! o.o

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Et en reculant comme ça, on pourrait aussi évoquer les beaux jours de la semaine dernière, la flemme grandiose d'aller en cours, les élections pour les conseils centraux de la fac, les 20% de participation, le matraquage des différents syndicats étudiants, l'égalité des sièges entre l'UNEF et les Associations Réunies, le petit autocollant "Moi, j'ai voté !" bien pratique au final... la phrase rituelle du : "Non merci, déjà voté." pour échapper au 10000 tracts à tous les coins de la fac...

Etc, etc...

Mais il est tard, alors pour retourner dans le passé, on verra plus tard. Parce que le temps, lui, il continue d'avancer.